Des collectivités, des entreprises, des associations et bien d'autres acteurs mettent en place, partout en France mais aussi dans le monde, des conférences, des projections de films, des débats, des expositions ou encore des spectacles, des sorties sur le terrain, des visites et portes ouvertes en jardins ou exploitations agricoles.
Toutes ces actions citoyennes démontrent que les risques sanitaires et environnementaux liés à l'utilisation des pesticides sont désormais inacceptables et que les alternatives aux traitements chimiques existent et qu'elles sont viables.
Avec une baisse de 88 % de l'utilisation de pesticides depuis 2001, les espaces verts de Paris donnent l'exemple. Déjà 63 jardins de la Ville de Paris ont été labellisés pour leur gestion écologique. Conférences, tables rondes, ateliers, expositions, salons : toutes les actions en Ile-de-France pour la Semaine pour les Alternatives aux Pesticides.
Pour ma part, je réduis chaque année le nombre de plantes sensibles aux parasites ou aux maladies dans mon coin de jardin. Et vous, comment faites vous pour réduire votre utilisation de pesticides ?
2 commentaires:
j'essaie de ne rien utiliser. il n'y a que l'anti-limace qui sort quelques fois , en désespoir de cause. sinon, je laisse les plantes se débrouiller. Mais je n'ai pas non plus de potager .
Oui, bon, je parcours tout ceci un peu tard... Pour ma part, je déplace. Une plante en souffrance est une plante qui n'est peut-être pas dans les conditions qui lui faut. Quant aux "mauvaises herbes", en ne laissant pas le sol nu, peu d'entre elles se manifestent. C'est souvent la lumière gagnant un sol nu qui les appelle au réveil. Par contre, les limaces... mmh, difficile de faire sans, et même difficile de ne compter que sur le ferriphosphate (sauf après un hiver si rigoureux)
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