La plate-forme Blogger ne me permettant plus de faire évoluer mon blog comme je le souhaitais, j'ai donc transféré Paris côté jardin sur Wordpress, après avoir acheté les noms de domaine www.pariscotejardin.fr et www.pariscotejardin.com
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Deux adresses pour un même blog, à vous de choisir.
Merci de continuer à me suivre et de vous réabonner éventuellement sur le nouveau blog...
samedi 17 octobre 2009
Eucomis pieuvre
J'ai passé mon vendredi à visiter les Journées des Plantes de Courson (91). La météo plutôt frisquette ne m'a pas empêché de parcourir les nombreux stands très colorés. J'ai bien sûr fait quelques achats, dont un eucomis pieuvre (Eucomis vandermerwei 'Octopus') trouvé chez Alain et Céline Tan (Pépinière Fleurs du Sud).
Cette variété d'eucomis est de petite taille, moins de 20 cm de hauteur et d'envergure avec des feuilles pointues et étroites regroupées en rosette, vert taché de pourpre.
Les épis de fleurs qui apparaissent en été sont pourpre et donnent ensuite des fruits pourprés qui restent longtemps très décoratifs.
Une plante parfaite quand on manque de place...
Cette plante bulbeuse, surnommée lis ananas, va entrer en repos avant l'hiver. Il faut garder le gros bulbe à l'abri de l'humidité et du froid. Au printemps, il faut le rempoter dans un substrat humifère bien drainé. La plante se cultive à la mi-ombre. Les arrosages se font quand le substrat est sec en surface. Une culture facile pour une plante bien adaptée aux jardiniers de ville et aux balcons, d'une grande originalité !
Cette variété d'eucomis est de petite taille, moins de 20 cm de hauteur et d'envergure avec des feuilles pointues et étroites regroupées en rosette, vert taché de pourpre.
Les épis de fleurs qui apparaissent en été sont pourpre et donnent ensuite des fruits pourprés qui restent longtemps très décoratifs.
Une plante parfaite quand on manque de place...
Cette plante bulbeuse, surnommée lis ananas, va entrer en repos avant l'hiver. Il faut garder le gros bulbe à l'abri de l'humidité et du froid. Au printemps, il faut le rempoter dans un substrat humifère bien drainé. La plante se cultive à la mi-ombre. Les arrosages se font quand le substrat est sec en surface. Une culture facile pour une plante bien adaptée aux jardiniers de ville et aux balcons, d'une grande originalité !
vendredi 16 octobre 2009
Rabdosia longituba
La touffe mesure un bon mètre d'envergure et de hauteur. Elle a commencé à fleurir il y a seulement quelques jours, les petites fleurs tubulaires bleu ciel étant de plus en plus nombreuses.
Un port très gracieux, grande légèreté des épis terminaux, un bleu d'azur, joli coloris des feuilles empourprées...
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L'automne des hibiscus
Les jours courts et les températures de plus en plus fraîches de ces derniers jours font jaunir à vue d'oeil mes pieds d'hibiscus (Hibiscus coccineus et H. coccineus 'Alba').
Les feuilles prennent une teinte dorée superbe. Spectacle haut en couleurs !
Mais de courte durée car les feuilles jaunes tombent très vite.
Les feuilles prennent une teinte dorée superbe. Spectacle haut en couleurs !
Mais de courte durée car les feuilles jaunes tombent très vite.
jeudi 15 octobre 2009
Journees des plantes de Courson les 16, 17 et 18 octobre 2009
51ème édition des Journées des plantes de Courson avec près de 250 exposants sélectionnés par les différents Comités de Courson.
Les exposants y présentent les dernières obtentions, les redécouvertes de plantes, des collections de végétaux ainsi que les outils et objets à vivre inédits qui participent de la vie au jardin. Un rendez-vous fleuri et coloré en diable !
Deux baptêmes de roses et un baptême de dahlia, les remises des Prix et des Mérites de Courson, le lancement du Carnet des Tendances du Jardin, des hommages particuliers à l’occasion d’anniversaires… Les événements qui se succèderont le vendredi 16 octobre, feront de Courson le lieu où toute l’actualité du jardin sera rassemblée, réunissant les principaux acteurs des métiers de la botanique et de l’horticulture mais aussi des médias.
L’actualité végétale – automne 2009 avec les deux thèmes Courson :
- Toute une année en compagnie des « vrais » bulbes classiques,
- Beaux et généreux, les arbres et arbustes « provende ». Le jardin comme une valeur refuge où la simplicité est de mise, où l’on retrouve le mystère rassurant des bulbes, les gestes simples de les planter puis d’attendre quelques mois avant qu’ils ne fleurissent et rappellent le cours des saisons. L’envie aussi d’une beauté généreuse, celle des arbres « provende » aux silhouettes gracieuses, aux floraisons et aux feuillages étonnants, aux fruits gourmands.
Parce que l’automne est la saison des plantations par excellence, le jardinier trouvera un large choix d’arbres et d’arbustes – courants ou rares – sélectionnés au mieux de leur forme, proposés en différentes tailles selon leur destination. C’est aussi l’époque de revoir le dessin de son jardin, de planter ce qui manquait à la « belle saison », d’envisager une plantation de graminées, de rechercher « le » rosier ou « la » pivoine de ses rêves. En un mot, de prendre le temps de revoir ou de découvrir les trésors proposés par les pépiniéristes présents à Courson.
Avec les exposants retenus par le Comité Autour du Jardin pour une sélection d’outils qui facilitent la vie du jardinier mais aussi avec tout ce qui peut enrichir l’univers du jardin : construction, mobilier, objets de décoration.
Huit conférences pour aborder le jardin à l’échelle de la planète en compagnie de personnalités de premier plan dans leur domaine.
Bref, un très grand rendez-vous d'automne, qui montre les différentes facettes de cette arrière-saison et donne plein d'idées pour apporter une touche de couleur et prolonger la bonne humeur dans son jardin.
J'y serai demain vendredi toute la journée ! À demain peut-être, le nez et les yeux dans les belles plantes...
Les exposants y présentent les dernières obtentions, les redécouvertes de plantes, des collections de végétaux ainsi que les outils et objets à vivre inédits qui participent de la vie au jardin. Un rendez-vous fleuri et coloré en diable !
Deux baptêmes de roses et un baptême de dahlia, les remises des Prix et des Mérites de Courson, le lancement du Carnet des Tendances du Jardin, des hommages particuliers à l’occasion d’anniversaires… Les événements qui se succèderont le vendredi 16 octobre, feront de Courson le lieu où toute l’actualité du jardin sera rassemblée, réunissant les principaux acteurs des métiers de la botanique et de l’horticulture mais aussi des médias.
L’actualité végétale – automne 2009 avec les deux thèmes Courson :
- Toute une année en compagnie des « vrais » bulbes classiques,
- Beaux et généreux, les arbres et arbustes « provende ». Le jardin comme une valeur refuge où la simplicité est de mise, où l’on retrouve le mystère rassurant des bulbes, les gestes simples de les planter puis d’attendre quelques mois avant qu’ils ne fleurissent et rappellent le cours des saisons. L’envie aussi d’une beauté généreuse, celle des arbres « provende » aux silhouettes gracieuses, aux floraisons et aux feuillages étonnants, aux fruits gourmands.
Parce que l’automne est la saison des plantations par excellence, le jardinier trouvera un large choix d’arbres et d’arbustes – courants ou rares – sélectionnés au mieux de leur forme, proposés en différentes tailles selon leur destination. C’est aussi l’époque de revoir le dessin de son jardin, de planter ce qui manquait à la « belle saison », d’envisager une plantation de graminées, de rechercher « le » rosier ou « la » pivoine de ses rêves. En un mot, de prendre le temps de revoir ou de découvrir les trésors proposés par les pépiniéristes présents à Courson.
Avec les exposants retenus par le Comité Autour du Jardin pour une sélection d’outils qui facilitent la vie du jardinier mais aussi avec tout ce qui peut enrichir l’univers du jardin : construction, mobilier, objets de décoration.
Huit conférences pour aborder le jardin à l’échelle de la planète en compagnie de personnalités de premier plan dans leur domaine.
Bref, un très grand rendez-vous d'automne, qui montre les différentes facettes de cette arrière-saison et donne plein d'idées pour apporter une touche de couleur et prolonger la bonne humeur dans son jardin.
J'y serai demain vendredi toute la journée ! À demain peut-être, le nez et les yeux dans les belles plantes...
Infos pratiques :
Parc du Domaine de Courson,
91680 Courson-Monteloup.
Tél. : 01 64 58 90 12.
Tél. : 01 64 58 90 12.
Site internet : www.domaine-de-courson.fr
• matinée professionnelle : vendredi 16 octobre, de 10h à 14h.
Ouverture au public :
• vendredi 16 octobre, de 14h à 18h.
• samedi 17 et dimanche 18 octobre de 10h à 18h.
• matinée professionnelle : vendredi 16 octobre, de 10h à 14h.
Ouverture au public :
• vendredi 16 octobre, de 14h à 18h.
• samedi 17 et dimanche 18 octobre de 10h à 18h.
mercredi 14 octobre 2009
Les perles de l'ampelopsis
Les baies et les fruits décoratifs sont un des grands plaisirs et charmes de l'automne. Comme ces superbes perles brillantes de l'ampélopsis (Ampelopsis brevipedunculata var. elegans).
Bleu turquoise, vert jade, violet vif... Un festival de couleurs qui s'accorde à merveille avec le doré du feuillage. Une belle vigne-vierge, qui pousse aussi bien en pot qu'en pleine terre...
Bleu turquoise, vert jade, violet vif... Un festival de couleurs qui s'accorde à merveille avec le doré du feuillage. Une belle vigne-vierge, qui pousse aussi bien en pot qu'en pleine terre...
mardi 13 octobre 2009
Grand Herbier d'Ombres de Lourdes Castro
Le Centre culturel Calouste Gulbenkian rend hommage à Lourdes Castro en présentant le Grand Herbier d’Ombres réalisé sur l’Île de Madère en 1972.
La présentation à Paris du Grand Herbier d’Ombres a une signification en quelque sorte symbolique et unificatrice. Elle relie deux temps et deux géographies – ses deux villes, Paris, où elle a vécu pendant 25 ans et où elle a commencé sa recherche
plastique sur la représentation des ombres, et Funchal (Île de Madère), lieu de sa naissance et lieu de découverte où, pendant l’été 1972, elle a développé ce travail artistique.
La vie de Lourdes Castro :
Lourdes Castro est née en 1930 à Funchal, sur l’archipel portugais de Madère. Elle effectue des études de peinture à l'École des Beaux-arts de Lisbonne avant de quitter le Portugal pour Munich et puis Paris où elle crée avec son mari, le peintre René Bertholo, la revue expérimentale KWY (1958-1963) et le mouvement du même nom auquel s’associent l’artiste bulgare Christo, l’artiste allemand Jan Voss et des artistes portugais tels que Costa Pinheiro, Escada, Gonçalo Duarte et João Vieira. Lourdes Castro participe en 1959 à la première Biennale de Paris. Au début des années 1960, elle commence à abandonner l’abstraction lyrique ayant jusqu’alors marqué son travail et se rapproche des idées des Nouveaux réalistes. Elle crée des collages d’objets du quotidien en assemblant des biens de consommation, souvent récupérés dans les déchets, porteurs de souvenirs d’un monde inhabité, dans des boîtes et en les peignant en teintes argentées.
La création de ces objets réveille l’intérêt de Lourdes Castro pour les ombres et la représentation de ces contours dématérialisés, signes paradoxaux de la présence matérielle. Elle commence à apposer des silhouettes de ses amis sur des toiles et développe cette technique avec l’utilisation du plexiglas, soulignant encore davantage la fusion complexe et contradictoire de l’objet dans une dimension immatérielle. Ses silhouettes peintes sur plexiglas, découpées ou brodées sur des draps, introduisent une nouvelle dimension dans le pop art, par une sorte de dialectique de présence-absence de l'image. L’artiste anime ces silhouettes dans les spectacles qu’elle réalise à partir de 1966, notamment dans son théâtre d’ombres. Après un séjour à Berlin entre 1972 et 1973, elle se consacre de plus en plus à ces actions inspirées de la tradition chinoise et des happenings et présente ses spectacles à Paris, Berlin, Anvers, Amsterdam, Aix-la Chapelle, Hanovre, Caracas, Lisbonne, Porto, Triste, Mantova, Munich, Strasbourg, Vénice, Frankfurt et São Paulo. Lourdes Castro retourne sur l’Île de Madère en 1983 où elle vit et travaille aujourd’hui.
Lourdes Castro et la Fondation Calouste Gulbenkian :
Lourdes Castro est représentée dans la collection du Centre d’Art moderne José de Azeredo Perdigão (CAMJAP) de la Fondation Calouste Gulbenkian de Lisbonne avec cinq peintures, un objet-peinture, deux sculptures, quatre dessins, deux gravures et un objet-textile. Le CAMJAP a consacré pour la première fois une exposition au Grand herbier d’ombres en 2003. Les liens entre l’artiste et la Fondation remontent cependant à 1958 quand Lourdes Castro obtient une bourse de la Fondation Calouste Gulbenkian pour ses études de peinture.
Infos pratiques :
Commissaire de l’exposition : Helena de Freitas.
En collaboration avec le Centre d’Art moderne José de Azeredo Perdigão / Fondation Calouste Gulbenkian.
Du 14 octobre au 12 décembre 2009. Entrée libre.
Centre culturel Calouste Gulbenkian, 51, avenue d’Iéna, 75016 Paris
Accès : métro Etoile, Kléber ou Iéna, bus 30, 31 ou 92
Horaires d’ouverture : du lundi au vendredi, de 9 h 00 à 17 h 30.
Renseignements au tél. : 01 53 23 93 93.
Site : www.gulbenkian-paris.org
(Canna indica, Lourdes Castro)
Dans sa recherche plastique sur les possibilités de représentation de l’ombre, l’artiste portugaise a enregistré les ombres d’une centaine de différentes espèces botaniques fixées, directement sous le soleil, sur du papier héliographique. Lourdes Castro atteint dans ce travail un moment de beauté absolue, décisif dans son projet de dématérialisation du réel.(Asplenium adiantum, doradille noir, Lourdes Castro)
L'exposition : La présentation à Paris du Grand Herbier d’Ombres a une signification en quelque sorte symbolique et unificatrice. Elle relie deux temps et deux géographies – ses deux villes, Paris, où elle a vécu pendant 25 ans et où elle a commencé sa recherche
plastique sur la représentation des ombres, et Funchal (Île de Madère), lieu de sa naissance et lieu de découverte où, pendant l’été 1972, elle a développé ce travail artistique.
(Orchidacées, Lourdes Castro)
Elle relie également la phase d’initiation au temps de la sagesse. Elle reflète une grande maturité plastique, tout en nous transportant dans un temps d’émerveillement, celui de l’enfance. Objet d’une apparente clarté conceptuelle, l’Herbier est réalisé après la traversée d’une phase intense d’expérimentation plastique des possibilités de représentation de l’ombre (à partir de 1961).(Louva a deus, Lourdes Castro)
(Vitis vinifera, raisins, Lourdes Castro)
L’objet lui-même est un vrai Herbier à plantes, scientifique et méticuleux, organisé sous forme de livre ou de catalogue où sont présentées les ombres projetées d’environ 100 différentes espèces botaniques. L’artiste a développé son travail de manière naturelle, stimulée par les retrouvailles de ce monde naturel et magique, et à partir du souvenir de ses premiers essais de sérigraphie (1962), lorsqu’elle obtint les premières ombres projetées d’objets. La singularité de l’objet d’art Grand Herbier d’Ombres se situe sur le plan de la convocation d’images de la vie, dans un dialogue imaginaire entre l’objet et son double, le corps et l’âme, le réel et le magique. La ligne incertaine qui sépare le monde clair de la réalité invisible. Dans les pages de cet Herbier et dans les ombres de chacune des plantes y représentées, nous voyons beaucoup plus que leur traits. Leur pouvoir évocatoire d’autres images nous place sur le territoire éblouissant de l’utopie.(Strelitzia reginae, Lourdes Castro)
La vie de Lourdes Castro :
Lourdes Castro est née en 1930 à Funchal, sur l’archipel portugais de Madère. Elle effectue des études de peinture à l'École des Beaux-arts de Lisbonne avant de quitter le Portugal pour Munich et puis Paris où elle crée avec son mari, le peintre René Bertholo, la revue expérimentale KWY (1958-1963) et le mouvement du même nom auquel s’associent l’artiste bulgare Christo, l’artiste allemand Jan Voss et des artistes portugais tels que Costa Pinheiro, Escada, Gonçalo Duarte et João Vieira. Lourdes Castro participe en 1959 à la première Biennale de Paris. Au début des années 1960, elle commence à abandonner l’abstraction lyrique ayant jusqu’alors marqué son travail et se rapproche des idées des Nouveaux réalistes. Elle crée des collages d’objets du quotidien en assemblant des biens de consommation, souvent récupérés dans les déchets, porteurs de souvenirs d’un monde inhabité, dans des boîtes et en les peignant en teintes argentées.
La création de ces objets réveille l’intérêt de Lourdes Castro pour les ombres et la représentation de ces contours dématérialisés, signes paradoxaux de la présence matérielle. Elle commence à apposer des silhouettes de ses amis sur des toiles et développe cette technique avec l’utilisation du plexiglas, soulignant encore davantage la fusion complexe et contradictoire de l’objet dans une dimension immatérielle. Ses silhouettes peintes sur plexiglas, découpées ou brodées sur des draps, introduisent une nouvelle dimension dans le pop art, par une sorte de dialectique de présence-absence de l'image. L’artiste anime ces silhouettes dans les spectacles qu’elle réalise à partir de 1966, notamment dans son théâtre d’ombres. Après un séjour à Berlin entre 1972 et 1973, elle se consacre de plus en plus à ces actions inspirées de la tradition chinoise et des happenings et présente ses spectacles à Paris, Berlin, Anvers, Amsterdam, Aix-la Chapelle, Hanovre, Caracas, Lisbonne, Porto, Triste, Mantova, Munich, Strasbourg, Vénice, Frankfurt et São Paulo. Lourdes Castro retourne sur l’Île de Madère en 1983 où elle vit et travaille aujourd’hui.
Lourdes Castro et la Fondation Calouste Gulbenkian :
Lourdes Castro est représentée dans la collection du Centre d’Art moderne José de Azeredo Perdigão (CAMJAP) de la Fondation Calouste Gulbenkian de Lisbonne avec cinq peintures, un objet-peinture, deux sculptures, quatre dessins, deux gravures et un objet-textile. Le CAMJAP a consacré pour la première fois une exposition au Grand herbier d’ombres en 2003. Les liens entre l’artiste et la Fondation remontent cependant à 1958 quand Lourdes Castro obtient une bourse de la Fondation Calouste Gulbenkian pour ses études de peinture.
Infos pratiques :
Commissaire de l’exposition : Helena de Freitas.
En collaboration avec le Centre d’Art moderne José de Azeredo Perdigão / Fondation Calouste Gulbenkian.
Du 14 octobre au 12 décembre 2009. Entrée libre.
Centre culturel Calouste Gulbenkian, 51, avenue d’Iéna, 75016 Paris
Accès : métro Etoile, Kléber ou Iéna, bus 30, 31 ou 92
Horaires d’ouverture : du lundi au vendredi, de 9 h 00 à 17 h 30.
Renseignements au tél. : 01 53 23 93 93.
Site : www.gulbenkian-paris.org
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lundi 12 octobre 2009
C'est un miracle !
Oui un miracle ! Ma commande de plantes en provenance des États-Unis, partie le lundi 8 septembre dernier, arrivé chez Chronopost Roissy le vendredi 11 et bloquée depuis pour des raisons de douanes, m'a été livrée, sans que je ne fasse rien, samedi dernier (mais j'étais absent). J'ai récupéré le colis ce soir et, ô surprise, une seule plante a rendu l'âme, toutes les autres sont vivantes !
Plus d'un mois dans un colis et dans le noir complet, les jeunes plantes exotiques ont résisté, incroyable, non ? Et pourtant, quand Chronopost m'a prévenu par téléphone le lundi 14 septembre dans l'après midi (3 jours après l'arrivée du colis quand même, bravo pour un colis envoyé en Express Mail et contenant des plantes !), que le colis était retenu et qu'il fallait le faire dédouaner, je pensais déjà que tout était dans un état déplorable. Pensez donc, des saintpaulias, un bégonia rex, un épiscia et un codonanthe, tous des jeunes plants aux feuillages incroyablement fragiles. Et bien non, le colis avait été si bien fait, avec une telle minutie, que les plantes ont supporté le périple même prolongé. Seul le codonanthe a péri dans le voyage, une perte bien légère en regard de la commande passée.
J'ai donc enfin obtenu mes petites merveilles :
- Saintpaulia (African violet) Golden Eyes
- Saintpaulia ( African violet) Ma's Crime Scene
- Saintpaulia ( African violet) Warm Sunshine
- Saintpaulia ( African violet) Rob's Twinckle Blue
- Episcia 'Silver Skies'
- Begonia 'Dollar Down'
Un super grand bravo à la société Violet Barn, qui a emballé les plantes parfaitement, avec un souci du détail rare. Film plastique pour retenir la terre, double emballage soigneusement agrafé et scotché, plantes calées pour ne pas bouger quel que soit le sort réservé au colis, et jeunes plantes de très bonne qualité, bien formées. Je vous la recommande chaleureusement !!!
Carton rouge à Chronopost, une nouvelle fois :
- Pour avoir appelé trois jours après l'arrivée du colis en France alors que tout indiquait qu'il avait besoin d'être livré rapidement (j'avais demandé une livraison en 48 heures).
- Parce que cette société, qui réceptionne quand même tous les colis étrangers pour les particuliers (on n'a pas le choix, compte tenu des accords entre les postes américaine et française, mais il fallait le savoir avant), ne peut dédouaner des plantes.
- Pour m'avoir indiqué trois adresses de transporteurs qui soit disant pouvaient me dédouaner les plantes, alors que l'un d'entre eux ne pouvait pas le faire, un autre était aux abonnés absents (le téléphone sonnait toujours occupé) et le troisième, fort aimable, demandait rien moins que 160 euros pour aller chercher le colis avec un nouveau certificat sanitaire (sic !). Mais ce troisième transporteur, sympa et honnête, m'avait déconseillé de payer, car pour lui aussi, après plus d'une semaine de voyage les plantes devaient être moribondes.
- Pour m'avoir demandé de signer une décharge pour le retour du colis à l'envoyeur. Chose que j'ai refusée de faire. Et j'ai bien fait, puisque finalement le colis arrive quand même.
- Pour être passé le samedi matin, sans sonner et en laissant un avis. Ca sert à quoi de donner son téléphone et d'avoir un interphone en bas de l'immeuble ???
Si quelqu'un connaît un transporteur en France capable d'importer des plantes pour un particulier depuis les États-Unis, je suis preneur, car je ne vais pas retenter l'expérience par la poste. C'est trop risqué pour ces pauvres petites plantes, qui avaient pourtant fait l'objet d'une inspection sanitaire au départ des États-Unis...
Plus d'un mois dans un colis et dans le noir complet, les jeunes plantes exotiques ont résisté, incroyable, non ? Et pourtant, quand Chronopost m'a prévenu par téléphone le lundi 14 septembre dans l'après midi (3 jours après l'arrivée du colis quand même, bravo pour un colis envoyé en Express Mail et contenant des plantes !), que le colis était retenu et qu'il fallait le faire dédouaner, je pensais déjà que tout était dans un état déplorable. Pensez donc, des saintpaulias, un bégonia rex, un épiscia et un codonanthe, tous des jeunes plants aux feuillages incroyablement fragiles. Et bien non, le colis avait été si bien fait, avec une telle minutie, que les plantes ont supporté le périple même prolongé. Seul le codonanthe a péri dans le voyage, une perte bien légère en regard de la commande passée.
J'ai donc enfin obtenu mes petites merveilles :
- Saintpaulia (African violet) Golden Eyes
- Saintpaulia ( African violet) Ma's Crime Scene
- Saintpaulia ( African violet) Warm Sunshine
- Saintpaulia ( African violet) Rob's Twinckle Blue
- Episcia 'Silver Skies'
- Begonia 'Dollar Down'
Un super grand bravo à la société Violet Barn, qui a emballé les plantes parfaitement, avec un souci du détail rare. Film plastique pour retenir la terre, double emballage soigneusement agrafé et scotché, plantes calées pour ne pas bouger quel que soit le sort réservé au colis, et jeunes plantes de très bonne qualité, bien formées. Je vous la recommande chaleureusement !!!
Carton rouge à Chronopost, une nouvelle fois :
- Pour avoir appelé trois jours après l'arrivée du colis en France alors que tout indiquait qu'il avait besoin d'être livré rapidement (j'avais demandé une livraison en 48 heures).
- Parce que cette société, qui réceptionne quand même tous les colis étrangers pour les particuliers (on n'a pas le choix, compte tenu des accords entre les postes américaine et française, mais il fallait le savoir avant), ne peut dédouaner des plantes.
- Pour m'avoir indiqué trois adresses de transporteurs qui soit disant pouvaient me dédouaner les plantes, alors que l'un d'entre eux ne pouvait pas le faire, un autre était aux abonnés absents (le téléphone sonnait toujours occupé) et le troisième, fort aimable, demandait rien moins que 160 euros pour aller chercher le colis avec un nouveau certificat sanitaire (sic !). Mais ce troisième transporteur, sympa et honnête, m'avait déconseillé de payer, car pour lui aussi, après plus d'une semaine de voyage les plantes devaient être moribondes.
- Pour m'avoir demandé de signer une décharge pour le retour du colis à l'envoyeur. Chose que j'ai refusée de faire. Et j'ai bien fait, puisque finalement le colis arrive quand même.
- Pour être passé le samedi matin, sans sonner et en laissant un avis. Ca sert à quoi de donner son téléphone et d'avoir un interphone en bas de l'immeuble ???
Si quelqu'un connaît un transporteur en France capable d'importer des plantes pour un particulier depuis les États-Unis, je suis preneur, car je ne vais pas retenter l'expérience par la poste. C'est trop risqué pour ces pauvres petites plantes, qui avaient pourtant fait l'objet d'une inspection sanitaire au départ des États-Unis...
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Un arbre de Noël ? Non, un cotoneaster...
Connaissez-vous le Cotoneaster suecicus 'Juliette' ? Moi, je l'ai découvert le week-end dernier lors des Journées de l'arbre qui se tenaient à Arbofolia (Arboretum National des Barres) à Nogent-sur-Vernisson (45).
Avec ses gros fruits en forme de billes orange vif brillantes et les feuilles abondamment panachées de blanc, cet arbuste ici cultivé sur tige a tout d'un sapin de Noël décoré !
Mais il apporte une touche de lumière et de couleur dans le jardin ou sur la terrasse quand l'automne étend sa grisaille. Les feuilles sont persistantes. Elles se teintent de rose plus ou moins vif quand le froid s'installe. Au printemps, les branches se couvrent de petites fleurs blanches très mellifères.
Avec ses gros fruits en forme de billes orange vif brillantes et les feuilles abondamment panachées de blanc, cet arbuste ici cultivé sur tige a tout d'un sapin de Noël décoré !
Mais il apporte une touche de lumière et de couleur dans le jardin ou sur la terrasse quand l'automne étend sa grisaille. Les feuilles sont persistantes. Elles se teintent de rose plus ou moins vif quand le froid s'installe. Au printemps, les branches se couvrent de petites fleurs blanches très mellifères.
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