Inutile d'attendre plus longtemps, la forte amplitude thermique entre le jour et la nuit n'est pas appréciée par certaines espèces exotiques, notamment les hibiscus roses de Chine qui ne supportent guère des températures nocturnes à 12 °C, voir moins. Et plus on prolonge le séjour à l'extérieur, plus l'adaptation à l'intérieur est difficile. Ce matin, j'ai donc réintégré mes potées de dorsténias, de masdevallia, de rhipsalis et d'haworthia.
Mais auparavant, une inspection minutieuse des pots et des feuillages a été nécessaire pour dépister d'éventuels parasites ou des feuilles malades. Il ne faut pas hésiter à sortir les pots des cache-pots, car j'ai déjà trouvé des cochenilles accrochées à l'intérieur des parois, entre les deux pots.
Et le plus dur ensuite, c'est de trouver une place à chacune des potées. Une bonne place, avec suffisamment de lumière. Cette année, je m'en tire bien, je n'ai pas eu de problème, surprenant !
6 commentaires:
J'ai fait pareil fin de la semaine passée mais, malheureusement pour moi, des vents violents avaient abimé mon cactus de Noël la seule plante d'intérieur qui a passé une petite partie de l'été à l'extéreur.
Je dois, néanmoins, avouer que j'ai toujours beaucoup de réticences à installer sur ma terrasse des plantes d'intérieur.
Pareil que Telemap ! toujours peur que des hôtes indésirables s'invite à la table ... pas de ça chez moi !
J'ai juste un clivia, un amarylis, une impatiens, un begonia, des cactus, une ipomée batatas ... ouh là, mais finalement, y'a du monde à rentrer !!!
Ca me fiche le bourdon rien que de penser à la fin de la belle saison pour les plantes. Bientôt fini le jardinage extérieur !
Quoi? Déjà? et moi qui ai les deux fermetures-éclair de ma serre en plastique de pétées (1,50 m au bas mot a coudre..) du coup je regarde d'un œil envieux les jolies petites serres en polycarbonate.
cémoa
Oui mais avec toute la place libérée dehors, on peut acheter plein de jolies potées fleuries d'automne... et profiter davantage de ces plantes à l'intérieur.
Oui mais non Alain, parce que comme je ne peux pas sortir sur balcon qui fait moins de 40 cm de profondeur, je suis obligée de laisser les fenêtres ouvertes tant que je bidouille dehors et ça, ça le fait pas en hiver, avec toutes mes plantes devant des fenêtres ! Si il faut que je déménage tout à chaque fois que j'ouvre, ça deviendrait vite une corvée.
Oh, mais les hôtes indésirables, ils s'invitent bien à l'intérieur également, avec les fenêtre ouvertes... Le plus à craindre (esthétiquement seulement), c'est un soleil trop rapide sur des plantes peu habituées... De mon côté, je ne devrais peut-être pas, mais j'ai toujours tendance à attendre le dernier moment, avec parfois une rentrée nocturne en express si les gelées s'invitent avant la Toussaint (qui est tout de même ma date ultime). Je ne peux m'empêcher de me dire que pour les grandes amatrices de soleil (style hibiscus), moins de temps elles restent sous éclairage artificiel, plus elles ont de chance d'atteindre la saison suivante. Mais c'est peut-être un tort...
Enregistrer un commentaire